Un pissenlit diabolique saute à travers une fenêtre, fait une roulade puis finit son entrée plaqué au sol. Il observe la pièce de part et d’autre puis ressort de la même manière.
Un homme vêtue de manière étrange entre ensuite (par la porte lui u_u) accompagné de cette satané mauvaise herbe.
« Mais… je t’ai dit que ce n’était pas la peine ><
-gniii ?
- Bref c’est bien tu fais ton boulot »
Ahem donc j’me présente !! Je suis un jeune nomade je viens de nulle part et partout donc.
HISTOIIIIIIIRE :
J’ai très vite développé un lien fort avec les animaux que je croisais au fil des voyages de ma famille, mon premier lien important fut avec une bête de somme que nous utilisions pour tirer nos caravanes, j’étais très jeune alors.
Ma famille y vit une ancienne magie depuis longtemps oubliées même par les plus anciens du clan et m’encouragea à développer mes pouvoirs en restant le plus possible avec les animaux du clan.
A la mort de la bête de somme un immense vide s’empara de moi, c’était comme arracher un morceau de mon âme, et cette douleur se changea ensuite en mal physique, j’ai ensuite passé plusieurs mois dans le coma.
A mon réveil un animal que je n’avais jamais vu se tenait près de moi, il m’observait avec un air étrange. Je sortais en courant de la yourte et trébuchais sur une marmite bouillante, je m’affalais au sol et fut soulagé de voir le liquide en ébullition couler loin de moi. Mon grand père me releva :
« Trys !!!! Tu es vivant !! Haha quel bonheur.
Lorsque l’animal apparut il vit mon visage effrayé.
-Ne t’inquiète pas mon garçon, il est là depuis que tu es dans le coma, il est arrivée un jour alors que personne ne savait encore ce que tu avais et l’un des anciens reconnu en lui certaine légende à propos d’un dieu que nos ancêtres ont vénéré, depuis il ne te quitte plus, et je crois que votre histoire ne fait que commencer. Va voir Naja-Arin , c’est lui qui a parlé de ce dieu.
Je restais la bouche béante en essayant d’assimiler le flot d’information qu’il venait de me lancer au visage. L’étrange animal me sauta alors sur l’épaule et je ne put soutenir ses yeux globuleux et me rendis en courant chez l’ancien.
En arrivant devant la porte de la yourte une voix me pria d’entrer.
L’homme était assis au centre de l’habitation devant le feu et jetais de la poudre dans le feu, tout en secouant un instrument fait de différent os. La musique qu’il produisait avais un pouvoir hypnotisant.
« Comment saviez vous que j’étais là ?
-Je ne le savais pas, je l’ai senti, depuis ma plus tendre enfance je ressens les êtres vivant qui se trouvent autour de moi et je suis capable de savoir de qui il s’agit avant même de voir son visage. J’ai longtemps réfléchit à la question et je pense que ce pouvoir réside dans mon sang, je pense même qu’il est plus grand que je ne le crois, mais sans maître, comment le développer ? Comment apprendre sans professeur ?
-Et mon pouvoir alors ? Nous ne sommes pas de la même famille, je ne comprends pas pourquoi je l’ai !
- Je pense que ce pouvoir s’étend à tout le clan mais a différend degré entre ses membres. Je peux t’enseigner tout ce que je sais, mais ensuite tu devras continuer seul.
-Et pour lui ?
Je désignais l’animal.
-Lui ? Je ne l’ai jamais vu, je ne connais que des histoires a propos de gens comme toi, qui ont les mêmes pouvoirs et chacun un animal tel que lui qui les suit partout, je pense que ça doit être un animal de lien ou quelque chose dans le genre, prend en grand soin.
Le vieux Arin m’appris donc tout ce qu’il savait et ma formation dura presque quatre ans.
« -Et maintenant maître ?
-Maintenant ? He bien je ne vois qu’une chose , trouve …
Un appel résonna dans ma tête « TROUVE MOI, TROUVE MOI…. » Je m’évanouis.
A mon réveil je saignait du nez.
« Apparemment Il ta trouvé avant que je ne te dise de Le trouver.
-Mais de qui parlons-nous ?
Ma tête me faisait affreusement mal et bourdonnais.
-Mais de Lui ! Tiamat, Le dernier dragon. »
Je pris donc la route accompagnait de Yop ( car c’est ainsi que j’ai nommé cet étrange animal) Avec pour seul aide, un appel qui se faisait plus fort a mesure que j’approchais de mon objectif.